Le Soleil se levait lentement sur le Château des terres de Gallia. La fraîcheur de la nuit commençait à disparaître et la lune disparaissait au loin. Il était encore tôt, cependant un homme avec une longue queue tigrée blanche et noire s’avançait à vive allure vers le château depuis la forêt. C’était le Général Midnight. Il courra et sauta sur une souche d’arbre puis sur une branche afin de passer au dessus d’une rivière. Il continua à courir puis une lumière l’entoura. Ses contours de rétrécir peu à peu et une fourrure rayée apparu. Son visage se transforma en gueule aux crocs acérés et ses bras se transformèrent en pattes aux griffes aiguisées. Seule sa queue ne se changea pas. Désormais il courrait plus vite et sautait d’arbres en arbres avec agilité en faisant s’envoler des oiseaux aux couleurs éclatantes. Au fur et à mesure qu’il avançait, le soleil se levait. Il commençait d’ailleurs à être visible à travers les arbres.
Le Laguz arriva enfin à la porte du Château et y pénétra. Ce n’était pas un château comme les autres. Celui-ci était en partie couvert de végétaux sauf la salle du trône. Celle-ci était ouverte à l’extérieur, composé uniquement d’un toit retenu par des colonnes en marbres blancs. Il s’avança vers le trône. Il reprit sa forme humaine et s’inclina devant une jeune femme aux longs cheveux violets. Elle aussi avait une queue mais beaucoup plus courtes et elle aussi violette. C’était la princesse Violetta.
Princesse Violetta : « Bonjour Général, comment allez-vous aujourd’hui ?
Général Midnight : Je vais bien merci, et vous ?
Princesse Violetta : J’ai fait un rêve très étrange. Nous étions tous les deux près de la rivière et vous me demandiez ma main. C’est étrange non ?
Midnight se mit à rougir.
Général Midnight : Oui, ça l’ai assez. Non pas que l’idée me déplaise.
Il s’avança vers la princesse et l’embrassa.
Princesse Violetta : Tu es vraiment de plus en plus inventif chaque jour mon amour. Où étais-tu ?
Général Midnight : Et bien je suis allé en haut de la colline et j’ai trouvé ceci : une magnifique rose violette, exactement comme toi. »
Puis ils s’embrassèrent à nouveau…